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Étienne Dahut et Péquenotronic. Sous ces pseudonymes revisités d'icônes 80's et 90's, se cachent les deux compères et dj's expérimentés Moldav et Leekid, connus pour leurs attentats sonores strasbourgeois. Mais avec "tu kiffes le lycra fluo", foin de musiques modernes et autres drum'n'bass ou techno, sur lesquelles ils ont bâti leur réputation.
Quand Étienne et Péquenotronic décident de faire tomber le champagne en mettant une ambiance fête, les fleurons de leurs vinyles électroniques cèdent la place aux égéries qui ont berçé leur adolescence tumultueuse. Les années 80 pour Étienne, les années 90 pour Péquenotronic.C'est pourquoi il n'est donc pas rare, au coeur de la fête, de croiser le fantôme de Kurt Cobain trinquant avec Axel Bauer dans une atmosphère de vieux troquet malfamé, ou d'entendre Noir Désir et Depeche Mode tenter de monter un boys band improvisé, interrompus au tournant par un Mc Solaar qui leur dit de bouger de là.Mais on y fait encore bien d'autres rencontres musicales. De celles qui font hurler les foules, marquées collectivement par les tubes incontournables de U2 ou Technotronic, de Cure ou Fatboy Slim, de Modern Talking ou Étienne Daho. Pas d'inquiétude donc. Étienne et Péquenotronic prennent d'entrée de jeu les choses en mains, dans un esprit "l'apérobic est lancé, chacun fait c'qui lui plaît". Les grands soirs, on dit même qu'Étienne Dahut se transforme en Jean-Pierre J'adhère et Péquenotronic en Dr Allemand. À partir de là, rien ne va plus.Les Doors ou les Beatles, qui n'étaient pas conviés à la fête, viennent jouer des coudes et se posent en renfort vintage. Au final, vous vous remémorerez le lendemain, avec un léger sourire, avoir dansé comme une boule de flipper sur le tube de Corynne Charby, avoir pogoté sur Rage Against The Machine, ou encore, être parti à la cueillette de légumes imaginaires en dansant la new-wave dans les règles de l'art de l'époque. Avec "tu kiffes le lycra fluo" on se laisse prendre au jeu, et on en redemande.
Quand Étienne et Péquenotronic décident de faire tomber le champagne en mettant une ambiance fête, les fleurons de leurs vinyles électroniques cèdent la place aux égéries qui ont berçé leur adolescence tumultueuse. Les années 80 pour Étienne, les années 90 pour Péquenotronic.C'est pourquoi il n'est donc pas rare, au coeur de la fête, de croiser le fantôme de Kurt Cobain trinquant avec Axel Bauer dans une atmosphère de vieux troquet malfamé, ou d'entendre Noir Désir et Depeche Mode tenter de monter un boys band improvisé, interrompus au tournant par un Mc Solaar qui leur dit de bouger de là.Mais on y fait encore bien d'autres rencontres musicales. De celles qui font hurler les foules, marquées collectivement par les tubes incontournables de U2 ou Technotronic, de Cure ou Fatboy Slim, de Modern Talking ou Étienne Daho. Pas d'inquiétude donc. Étienne et Péquenotronic prennent d'entrée de jeu les choses en mains, dans un esprit "l'apérobic est lancé, chacun fait c'qui lui plaît". Les grands soirs, on dit même qu'Étienne Dahut se transforme en Jean-Pierre J'adhère et Péquenotronic en Dr Allemand. À partir de là, rien ne va plus.Les Doors ou les Beatles, qui n'étaient pas conviés à la fête, viennent jouer des coudes et se posent en renfort vintage. Au final, vous vous remémorerez le lendemain, avec un léger sourire, avoir dansé comme une boule de flipper sur le tube de Corynne Charby, avoir pogoté sur Rage Against The Machine, ou encore, être parti à la cueillette de légumes imaginaires en dansant la new-wave dans les règles de l'art de l'époque. Avec "tu kiffes le lycra fluo" on se laisse prendre au jeu, et on en redemande.
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